Sunday
Style vestimentaire bipolaire exposant 2
SAN to YUL + définition
Hello online diary.
J'avoue..je t'ai délaissé pendant un bout de temps. C'est parce que...you know babe...le mot "blog" m'associe au mot "hipster" et Jésus sait que je suis pas hipster (mainstream) pour vrai. J'étais hipster avant même que le mot hipster devienne à la mode.
Mais les récents articles de Hustle m'ont rappelé que tu existais et que tu me servais de dépotoir virtuel où déverser mes émotions.
Je crois revenir en force, notamment avec mon récit à Tijuana (il me reste qu'à corriger un peu les fautes.... kestion davoir lair ke g de léducance)
Revenons au terme hipster. Un hipster est quelqu'un qui a pris toutes les sous-cultures possibles (c'est-à-dire nerd, emo, punk, gothique, skater, b-boy, Harajuku, granny, eurotrash), les a foutu dans un blender pour s'étendre ce caca sur le corps en appellant le tout "avoir du swag/style".
Les hipsters s'habillent chez Urban Outfitters et se rendent même pas compte qu'ils payent excessivement cher pour du tissu bas de gamme. Jamais les hipstresses s'habilleront Juicy Couture, beaucoup trop faux-young-hollywood-glam.
Les hipsters croient être spéciaux. C'est évident, avec leur coupe de cheveux. Une fille qui se rase un côté seulement de la tête. J'avoue avoir trouvé le style "badass" pendant un moment. Mais c'est ça le problème avec les coupes de cheveux tendance hipster : ça dure seulement un moment.
Les hipsters sont un produit du courant mainstream (ohhh si tu leur dis ça ils vont te claquer drette là). C'est logique, ils prennent ce qui est mainstream, et vont en sens contraire. Ils se basent donc sur la norme pour aller hors norme, comme les punks. Mais si dans un autre monde la norme était de s'habiller rebelle Doc Martens, les punks d'aujourd'hui seraient alors habillés preppy Lacoste?
alors je sais pas si je suis hipster tu vois. Oui, j'ai arrêté d'aimer Misteur Valaire quand ils sont devenus un tantinet populaire et que leur chanson passait à la radio COMMERCIALE (vous savez déjà ce que je pense de la radio right?). Mais en même temps, j'adore le pop (i love you justin timberlake!).
Une autre définition à argumenter. Le pop. Ça vient du mot populaire. Et jay-z, y'est pômal populaire lui, alors il fait de la musique pop?
J'ai pas de honte à aimer la musique pop. mais jdis pas que j'écoute la radio commerciale, j'ai honte de ça par contre.
J'ai du mal à me comprendre des fois. Help?
J'avoue..je t'ai délaissé pendant un bout de temps. C'est parce que...you know babe...le mot "blog" m'associe au mot "hipster" et Jésus sait que je suis pas hipster (mainstream) pour vrai. J'étais hipster avant même que le mot hipster devienne à la mode.
Mais les récents articles de Hustle m'ont rappelé que tu existais et que tu me servais de dépotoir virtuel où déverser mes émotions.
Je crois revenir en force, notamment avec mon récit à Tijuana (il me reste qu'à corriger un peu les fautes.... kestion davoir lair ke g de léducance)
Revenons au terme hipster. Un hipster est quelqu'un qui a pris toutes les sous-cultures possibles (c'est-à-dire nerd, emo, punk, gothique, skater, b-boy, Harajuku, granny, eurotrash), les a foutu dans un blender pour s'étendre ce caca sur le corps en appellant le tout "avoir du swag/style".
Les hipsters s'habillent chez Urban Outfitters et se rendent même pas compte qu'ils payent excessivement cher pour du tissu bas de gamme. Jamais les hipstresses s'habilleront Juicy Couture, beaucoup trop faux-young-hollywood-glam.
Les hipsters croient être spéciaux. C'est évident, avec leur coupe de cheveux. Une fille qui se rase un côté seulement de la tête. J'avoue avoir trouvé le style "badass" pendant un moment. Mais c'est ça le problème avec les coupes de cheveux tendance hipster : ça dure seulement un moment.
Les hipsters sont un produit du courant mainstream (ohhh si tu leur dis ça ils vont te claquer drette là). C'est logique, ils prennent ce qui est mainstream, et vont en sens contraire. Ils se basent donc sur la norme pour aller hors norme, comme les punks. Mais si dans un autre monde la norme était de s'habiller rebelle Doc Martens, les punks d'aujourd'hui seraient alors habillés preppy Lacoste?
alors je sais pas si je suis hipster tu vois. Oui, j'ai arrêté d'aimer Misteur Valaire quand ils sont devenus un tantinet populaire et que leur chanson passait à la radio COMMERCIALE (vous savez déjà ce que je pense de la radio right?). Mais en même temps, j'adore le pop (i love you justin timberlake!).
Une autre définition à argumenter. Le pop. Ça vient du mot populaire. Et jay-z, y'est pômal populaire lui, alors il fait de la musique pop?
J'ai pas de honte à aimer la musique pop. mais jdis pas que j'écoute la radio commerciale, j'ai honte de ça par contre.
J'ai du mal à me comprendre des fois. Help?
Tuesday
Based on a true story
I rarely do art critics but I think that this was long overdue, I offer my apologies to all those art purists who see my lack of interest towards most artistic fields.
What's worst than watching a movie and realizing at the end that it was based on a true story?
I always have thought that it most take an amazing amount of lack of imagination to appreciate a play/novel/movie that is based on a true story. Isn't the biggest fabricated lie also the most conceivable.
A personal hero of mine is greek historian Herodotus, he was famous for writing accounts about places he had never visited. Making out people bigger than life and making up accounts of thousands of winged snakes that protect the trees of Arabia.
His main purpose was to make a good story however false it may be.
This is why I'd rather stick to my 1001 nights accounts of the Persian empire where flying carpets, talking monkey's and magical caves exist than to go back there and face the despotic regime, amount of pollution and religious zeal pf Iran.
Also why I'd rather believe Dinesen's Out of Africa, than to go to Kenya and face the genocides, drug lords and corruption.
The greater the lie, the better the artist.
I'd don't need news anymore, just the bunch of lies gathered in a novel.
What's worst than watching a movie and realizing at the end that it was based on a true story?
I always have thought that it most take an amazing amount of lack of imagination to appreciate a play/novel/movie that is based on a true story. Isn't the biggest fabricated lie also the most conceivable.
A personal hero of mine is greek historian Herodotus, he was famous for writing accounts about places he had never visited. Making out people bigger than life and making up accounts of thousands of winged snakes that protect the trees of Arabia.
His main purpose was to make a good story however false it may be.
This is why I'd rather stick to my 1001 nights accounts of the Persian empire where flying carpets, talking monkey's and magical caves exist than to go back there and face the despotic regime, amount of pollution and religious zeal pf Iran.
Also why I'd rather believe Dinesen's Out of Africa, than to go to Kenya and face the genocides, drug lords and corruption.
The greater the lie, the better the artist.
I'd don't need news anymore, just the bunch of lies gathered in a novel.
I get cheese
Most people my age already know what they want to do with their lives, I mean I'm heading for university but I have no clue as to how I'll make my dough in the foreseeable future.
I'm not even slightly stressed about it, my folks are starting to think there's a problem with me, like a total lack of interest in any valuable cause.
But I just know that I want those "roosters in my rari" and the only way for that to happen is that I just go with the money flow.
Ain't we all self-conscious? Sounds like I'll be one those a-holes that enter their children in toddler baby pageants, or better yet I'd put them through piano classes at 5 (kinda like what my mom did to me, Freud wouldn't be too proud).
Ahh at least I won't be one those wacky hypocrites who rush through community work through their college years not because they want to get into med school, but because they want to help "their fellow citizens".
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